KLAUS DMTRI WASHINGTON

MY SPIRIT GETS SO DOWNHEARTED SOMETIMES

Un certain 16/01, je suis arrivé ici-bas, dans ce bled pourri que l’on reconnait comme étant les contrées des Fraternels. Que cela soit calculé en printemps, en bougies, en années, je peux vous certifier que j’ai 35 balais. Puisqu’on ne choisit pas sa famille, je viens d’une classe sociale pauvre. Issu et déchu de cette trempe, c’est ce qui m’a doucement ouvert les yeux sur le futur qui m’attendait sournoisement et qui m’a tranquillement aspiré à devenir Moi ? J'suis celui qu'on est bien content d'appeler, mais dont on se débarrasse volontiers après. L'gars qui fait l'sale boulot contre un beau paquet de blé. Mes clients s'en branlent un peu, du moment que j'nettoie la crasse derrière. Et je claque bien la porte en partant. Voyez l'genre ... que vous connaissez aujourd'hui. Tristement (ou heureusement) pour vous, je suis très porté sur le cul et dans la même veine surtout celui de ta femme. Pardon, vous dites ? Me décrire en quelques mots ? Bon, d'accord : Bon-vivant + odieux + grossier + je-m'en-branliste-royal + paranoïaque + imaginatif + malin + défoncé + paumé + pathologique + blagueur + cynique + dragueur + pervers + évasif + expéditif + beau-parleur + manipulateur + menteur + arnaqueur . De ce fait, il faut dire que je suis assez révolté avec notre si belle société qui se retrouve morcelée en cinq factions et qui par conséquent fais de tous ces moutons de beaux sac à merde. Béhehehehhehe. C'est ça ouais, marchez bien en rang, connards de mes deux tiens ! . Outre tout ça, d’un aspect purement superficiel, trop souvent, vous avez cette fâcheuse manie de me confondre avec Brad hotly Pitt. Mais ne faut-il jamais se fier à la couverture d'un livre ?

Oui, je sais. Vous regardez ce dossier d'un air vitreux et une seule chose vous fait véritablement tiquer. Comment un tel connard peut-il être né fraternel ? J'vous le donne en plein dans le mille : J'en sais rien. Le fait est que de toute la famille, j'ai toujours été le plus gros enfoiré de service. Dès que y avait moyen de tirer au flan, j'étais le premier à trouver la bonne combine. M'intégrer ? Jamais eu envie. Et là, la ménagère du quartier m'regarderait en gueulant de sa voix criarde : " Oh mon dieeeeuuu, mais c'est quuooi ce grossier personnaaaage ? ', une main parfaitement manucurée posée sur son torse aux seins tombant. Bah j'vais vous l'dire, moi, ce que c'est.

C'est un mec qui voit clair dans le petit jeu de ces bouffons en bleu ! Des bouffons régissant une société bancale basée sur des stéréotypes illogiques. A mes souhaits ouais, tout à fait ! Et pourquoi je m'énerve ? Parce que ça m'gonfle, tiens. Mais t'es con ou quoi ? Suis un peu, merde ! Oui, j'jure tout le temps et j'cause comme un paysan. J'en ai rien à foutre, mon gars. Ou ma gueuse, comme tu voudras. J'suis pas regardant, tant que j'dois pas y mettre le nez je m'en tape. Ouvre juste bien tes oreilles : On es tous foutus. Mais ça, c'est d'puis la nuit des temps. Bah ouais, la vie, on a fait que la côtoyer vaguement. Y a longtemps, pour tout te dire, j'en sais pas plus. J'étais pas plus né que toi tu l'étais. On a tout loupé. La vraie vie, j'essaie de la mener loin des codes des factions. J'fais ce que j'peux. C'est pas du luxe, et on m'traite constamment de clochard. Mais au fond, j'suis quand même mille fois plus libre que ces pecnots de service.

Ouais, j'te tutoie maintenant.
Parce qu'on va pas se mentir et qu'on va devenir très intime toi et moi.
Non, pas comme ça. Presse pas le mouvement, on va commencer par causer. Tu voulais savoir, alors râle pas dans les jupes de maman.

T'as cerné le caractère, c'est bon ? Tu t'accroches ou pas ?
Alors installe-toi, c'est loin d'être terminé. Oh que non, p'tit gars. P'tite nana. Encore une fois, qu'importe.

T'as devant toi un bon vivant qui veut croquer la vie à pleine dent. Un grand sceptique. Un blasé de la vie. Un gars qui perd pourtant pas de son humour et qui adore par-dessous bousiller les codes et briser le mental des gens qu'il aime pas. Un gars qui sourit à la vie, parce que la vie, bah elle aime pas ça. Ouais, nos adversaires ont toujours détesté ça. Ecarte bien tes zygomatiques.

La suite va sans doute pas te plaire.

AS I WALK ON THROUGH THIS WICKED WORLD

1 + ASTALAVISTA, BABY.

Je comprends pas tellement ce qu'y s'passe. En fait, pour être tout à fait honnête, ça fait des jours que je la trouve bizarre. J'reniffle, passe une main impécunieuse derrière mon crâne et hausse un sourcil.

« - Tu voulais m'parler ?

Elle me jauge. C'est pas qu'un regard contrit et abrasé. C'est pire que ça. Mon palpitant affolé fait un drôle de bruit dans mon buste. Je m'en souviens encore, parce que c'est le jour où je me suis fait la promesse de plus laisser ça arriver.

- Klaus, demain on passe les tests.

J'hausse un sourcil. J'suis déjà au courant, d'ailleurs, j'ai été vraiment infernal sur le sujet. Je renifle, hausse les épaules et chope une brindille que je tords autour de mon index. Je sens ses iris se planter sur ma phalange entourée du végétal, puis se poser sur ma tempe. Elle soupire. Elle a compris que j'avais compris. Je plisse les narines et les paupières, le soleil m'éclate les mirettes. Les champs sont gorgés de soleil, les récoltes ont été plus que bonne cette année. Mais ça m'a jamais mis de baume au cœur. J'en ai toujours eu rien à cirer.

- Je peux pas continuer comme ça, soupire-t-elle en approchant une main hésitante.

Tout ce que j'arrive à baver, c'est un « hun hun » d'inintérêt factice. Ca fige son geste motivé par un élan de pathétisme. Je veux l'entendre jusqu'au bout. Je veux savoir ce qu'elle à me donner comme dérivative.

- Klaus … Fais pas ça, tu sais que je t'aime.
- Bah moi aussi ! J'm'emporte autant que le vent qui souffle au même moment. Comme un signe propice. Un encouragement divin.

Elle sursaute. Pince ses lèvres roses et ses joues deviennent rouges. Je les vois bien, les goûtes de sel qui perlent à la limite de ses prunelles, trop timides pour aller s'échouer sur ses pommettes.

- S'aimer ne veut pas dire qu'on a une chance ensemble. On ne se verra plus, dès demain.

J'inspire, j'expire. Qu'est-ce qu'elle en sait, elle ?

- Je vais faire un choix qui ne sera pas le tiens et j'en suis certaine. Autant s'arrêter là, tu ne crois pas ? Klaus, on est le jour et la nuit. T'es complètement fou et moi trop sage, je vais plus jamais connaître quelqu'un comme toi et ça me brise le cœur. Mais tu me briseras bien plus, si je reste avec toi. »

J'attends. Longtemps. Elle bouge plus, m'observe pleine d'espoir, priant pour être pardonnée de ses mots rudes. Ses maux. Mais le regard que je lui lance et sans équivoque. J'accepte pas son choix. Parce que c'est le siens, uniquement. Je sais qu'elle a raison, parce que je sais déjà que ce que je vais faire va entraîner un sacré bordel derrière moi. Mais j'étais loin de me douter que demain, je serai plus seul que jamais. Maman m'en voudra après ça, et j'aurai plus personne.

Mais il est hors de question que je recule.
Plus maintenant.

2. ON A FRÔLÉ LA VIE

J'fixe d'un air las son visage crispé. Elle reste là, prostrée, la tête basse. Du côté des bleus. Elle savait depuis le début. Et moi aussi. J'avais longtemps refusé d'admettre l'évidence même. Refusé de croire que celle que j'aimais, adorait ceux que je détestais tant. J'observe ma mère dans les rangs, assise et craintive. Elle est anxieuse. Je le sais. Et c'est la seule chose qui m'inquiète vraiment, la seule personne qui compte. Et la seule que je vais véritablement trahir. Mon nom explose et je grince des dents. Cette putain de mascarade me file la gerbe. J'avance lentement vers les socles et fixe les signes de chaque faction. Mon cœur se balance dans ma poitrine. Rien ne me correspond. Absolument rien. On m'a déjà dit que j'étais trop jeune, trop naïf, trop immature pour saisir l'importance de ce qui se joue ici. Que j'avais devant moi l'étendu du pouvoir, de la richesse d'un peuple. La richesse d'un peuple, tu parles !

J'renifle, fixe les signes, passe une main dans mes cheveux trop longs et agrippe le couteau. Verser mon sang dans l'une des coupes est l'objectif premier. C'est ce qu'ils attendent. Ils veulent mon sang. Ils vont l'avoir. J'agrippe le manche avec fermeté et, au lieu de le planter dans la chair de ma paume, je tranche celle de mes veines demon bras gauche. Face à moi, je vois les juges pousser des cris d'exclamations, suivit par les familles dans l'estrade lorsque je me détourne rapidement. J'agrippe la pointe sanglante du métal froid, la tend face à mes prunelles et fixe les goûtes de sang qui s'étalent sur la lame et sur le manche. Les autres sont tous flous.

« - Regardez-moi ça ! J'explose, j'éclate de rire comme un dément et balance la lame teintée d'hémoglobine comme une boussole. Vous la voyez, la vie qui s'écoule ? Vous la voyez, l'absurdité ?! Vous êtes tous des moutons, et elle est où la bergère ? Et y sont où ses chienchiens ?!

Je lance le couteau en l'air, l'agrippe par le manche poisseux et fait volte-face pour pointer le conseil. Et surtout, cette salope de Moïra.

- Y sont là !
- KLAUS !

J'ai pas très bien entendu d'où venait la voix féminine. Pour être honnête, le sang qui s'écoule de mes veines m'empêche d'y voir clair, ou même d'avoir les esgourdes bien ouvertes. Tout commence à tourner et je glisse même sur le sol. J'ai coupé trop profond et sûrement sectionné plus qu'une veine. Des bras m'agrippent, mais j'ignore lesquels. Pourtant, la rudesse des gestes ne présage rien de bon pour mon sort. Si j'survis à ça, mon compte est bon.

3. l'ANARCHISTE.

«  - … Ils t'ont coupé les cheveux ?

Je fixe le sol. Il est blanc, fade et triste. Comme cet endroit trop aseptisé.

- J'adorais tes cheveux … Toi tu les trouvais toujours trop longs …

J'inspire, j'expire.
J'ai pas grand chose à lui dire.
J'ai trop honte pour parler.
Trop honte pour la regarder.

Je sens ses mains parcourir mon crâne totalement rasé. Elles sont douces et tièdes, comme toujours.

- Regarde-moi … S'il-t-plaît …

J'renifle, hoche négativement la tête et serre mes croisées entre elles.

- Alors c'est comme ça maintenant ? Tu vas refuser de me parler ? Du jour au lendemain, tu quittes tout, même moi ?!

- M'man ! Je souffle finalement en levant mes opales vers elle. Je serre la mâchoire.

Son expression contrariée change du tout au tout. De la tristesse à l'horreur. Je voulais pas qu'elle voit ça, qu'elle avise la chair pâle de mon faciès rongé. J'ai des bleus partout, la lèvre fendue et des cernes de trois mètres de long sous mes globes vitreux.

- Qu'est-ce qu'ils t-ont fait ?! C'est inadmissible, je vais aller les voir immédiatement. S'insurge-t-elle en se levant.

Je lève une main, agrippe son poignet et la tire en arrière.

- J'me suis battue avec un autre patient …

Soupire, elle s’assoit à nouveau, inspire et déclare d'une voix déterminée.  

- Tu vas te reposer un moment et réfléchir à ta condition. Et quand ça sera fait, on demandera une seconde chance au conseil. On leur dira que tu as été dépassé par les événements, déprimé par ta ruptu-

BAM.

Elle s'arrête soudainement, fixe ma main écrasée contre le mur puis pince les lèvres.

- Klaus, il est hors de question que tu restes ici, dit ma mère d'un ton ferme.

- Oh, mais je compte pas rester, t'en fait pas !

- Et tu vas aller où ?! S'emporte-t-elle en se levant à nouveau.

Ses filets sombres encadrent son visage furieux et ses lèvres pleines expriment sa voracité. Si j'étais pas aussi convaincu et déterminé, j'en tremblerai de trouille. Comme quand j'étais gosse. Mais voilà, j'ai seize ans maintenant.  Il est plus là, le petit garçon.

- Dehors, maman. T'as toujours pas compris ? … Quand je sortirai de l'asile, je serai officiellement ce que j'ai toujours été. Un sans-faction. »

Et dans ses yeux, je déchiffre toute le désarroi du monde.
Elle sait qu'il est trop tard désormais.

4. VOX POPULI

Première séance – première année

« - Patient Klaus Dmtri Washington, origine américano-russe, mère célibataire, père inconnu. Interné pour une crise d'hystérie, a menacé la conseillère Rosenbach avec une arme blanche, tenté de se suicider devant témoins et profère des discours d'une extrême violence à l'encontre de la société. Klaus a été diagnostiqué hyper-actif à son enfance et son dossier scolaire montre clairement un trouble du comportement. Potentiellement anarchiste ... Le sujet m'inquiète fortement et présente un danger pour les autres et pour lui-même.

- CONNERIE ! Allez vous faire foutre ! 

- Klaus, calmez-vous enfin ! Inutile de vous montrer grossier, parlons un p-… Non, n'approchez pas ! Infirmière ! Administrez-lui un sédatif immédiatement.

- J'vais vous saigner bande d'henc'- »

Année deux – séance numéro 117

« - Comment vas-tu Klaus ?
- Bah … Ca va. … Et ... vous ?
- Bien … Bien, merci de le demander. Hmm …* bruit de pages qui tournent * Je vois que tu as encore fait beaucoup de progrès … Tu commences à guérir, c'est bien, c'est très bien. Continue comme ça, tu sortiras sûrement bientôt, si tu le mérites.

- … *raclement de gorge* Merci m'sieur. J'peux y aller ? J'ai ma visite de 15 heures.
- Tu ne veux pas parler, aujourd'hui ?
- Pas trop, j'dois vous avouer. Je préfère garder ma salive pour mes visiteurs.
- … Bien, bien. Tu peux y aller. A Mardi.
- 'Mardi. »

Année trois

Je fixe l'entrée de l'asile un long moment avant de jeter un coup d'oeil derrière mon dos. Visiblement, on me colle à la porte, et avec les compliments de la maison, en plus. Comme une mère indigne qui dirait à son chiard : «  C'est bien mon chéri, maintenant va voir ailleurs si j'y suis, le temps que maman aille jouer avec le gentil monsieur là-bas. Si tu peux jouer avec ce pistolet ? Oh mais oui bien-sûr mon amûûûr. » Les deux molosses m'regardent en biais, l'air de me dire de gentiment foutre le camp, avant de me pendre leurs pieds dans le cul.
Bon, bah, voilà.

Je suis libre.
Et clochard.

Je passe la main sur ma hanche, renifle et attend un moment avant de lâcher un cri de fauve en écartant les bras.

« - A JAMAIS, BANDE DE CONNARDS ! »

test d'aptitude

Dans les yeux de votre famille et vos amis, vous brillez comme étant quelqu’un de ?

A) Enclin à tout sacrifier pour aider son prochain.
B) Naturellement apprécié et aimé de tous.
C) Digne de confiance et d’une inébranlable loyauté.
D) Protecteur, irrépressible, peu importe la situation.
E) Sage, qui a toujours le bon mot à tout.

Quand une impasse vous fracasse le nez, votre réaction est ?

A) D’agir et faire ce qui est le mieux pour le plus de monde possible.
B) Être l’auteur d’une œuvre qui met en lumière mes sentiments.
C) Improviser une salle de conseil et discuter du problème avec mes proches.
D) Foncer dans le tas. Tête bien haute. C’est la seule solution !
E) Faire une liste de pour et de contre pour voir les meilleures options.

La profession parfaite, pour vous, c’est quoi ?

A) Tant que c’est Humanitaire, pour moi, c’est le comble de la perfection.
B) Tant que c’est sur l’entretient du Terroir, pour moi, c’est le comble de la perfection.
C) Tant que c’est pour l’évolution de la Science, pour moi, c’est le comble de la perfection.
D) Tant que c’est pour assurer la Sécurité, pour moi, c’est le comble de la perfection.
E) Tant que c’est Politique, pour moi, c’est le comble de la perfection.

Votre priorité capitale et fondamentale en ce moment ?


D) Forger mon caractère déjà bien trempé.

Ce questionnaire étant une véritable merde intersidérale - comprends par-là, impossible à remplir - j'ai décidé de te faire un joliiiiiii petit schéma de mon cru ! J'pense que le message va mieux passer, si si, tu vas voir ...

Allez, viens voir. Tu vas a-do-rer !


FACTION SOUHAITÉE : La dernière qu'on m'a posé la question, j'me suis tranché les veines.
Littéralement.  

SEE YOU ON THE OTHER SIDE

Pseudo : ALORS CA COMMENCE PAR UN S.    Ouais c'bon faites pas genre, VOUS L'SAVEZ TRES BIEN.  Où as-tu donc connu le forum ? ... Klaus tente d'influencer ma réponse. J'vous prie d'm'excuser, faut que j'aille vomir.    ( J'le connais d'puis le début et à cause DE CERTAINES PERSONNES. ) Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? OUI. Nan c'bon j'déconne PARTEZ PAS. En gros, vous en savez déjà pas mal. J'vais juste vous dire ce qui a changé depuis la dernière fois. J'ai changé de boulot, j'suis assistante pédagogique. ( Klaus n'est pas un bon exemple, cherchez pas. ) Mais que pendant 6 mois encore. Après, qui vivra verra. Mais en attendant, le rpg est devenu plus secondaire que jamais.  Le forum, tu en penses quoi ? VOUS M'AVIEZ MANQUE BANDE DE MOULES.                              As-tu des demandes spéciales ? DANS MES BRAS.  Le règlement du fofo, tu l'as consulté ? Oui ?! Alors révèle nous donc son code top-secret ! ONE CHOICE CAN TRANSFORM YOU

PREUUUMS DANS VOTRE GUEUUUULE

PREUMS DANS TON CUL!!! (puisque Ezra est preums dans ta gueule xD )

#Attentionyapasdecensures

Ok donc question de protocole, Ezra j'te montre ma queue, Lexis aura mon cul.
*Passe dans le rang en se dandinant*

Range-moi donc ça avant que ta frangine déboule! S'pas sérieux!

OMG
JE
KIFFE
DEJA
CE
KLAUDO
TROP
BADASS.


NAN MAIS ???? RIEN QUE LE BLOC ????? PTN JE LE KIFFE AZY PAR CONTRE MONTRE MOI PAS QUE LA QUEUE TOUTE LA MARCHANDISE J'AI LE DROIT AUX HONNEURS J'AI ÉTÉ PLUS VITE QUE BIPBIP WSH !!!

ALLEZ BIENVIENDUE CHEZ TOI ON VA COMPTER LES LICORNES ENSEMBLE. HEIN ?????

....

On avait dit pas entre frères et soeurs ?
Y a eu une lois contre ?
ET POURQUOI ON M'DIT JAMAIS RIEN ?

*Lui lèche la tronche quand même*

ZROUTE : AHQUEHJET'AIMEUH.
LEL.
Nan mais, entre ces deux-là, faut un lien. Genre, on peut pas passer à côté. Pas moyen. NIET. NADA.

Bah nan, fallait réclamer le cul d'abord !

B'jour toi

Bonjoouur madaaaaaame

CEY L'AMOUR VIRIL BB
*fait gonfler ses muscles*
OUAIS AZY j'AI ENVIE D'UN AMI LES GENS CEY BIZARRE Y M'AIMENT PAS ON SE REVOIT QUAND T'AS FINI D'RACONTER LA LIFE KISS KISS.

sale ingrat.
je l'aurais un jour,
je l'aurais.

Tssssss moi non plus on m'aime pas, et je me plains pas hein !

SI MOI JE T'AIME

Mawwwwwwww c'est vrai ?