Maven Kassidy Morgenstern

MY SPIRIT GETS SO DOWNHEARTED SOMETIMES

Un certain 13 mai 2099, je suis arrivé ici-bas, dans ce bled pourri que l’on reconnait comme étant les contrées des sincères. Que cela soit calculé en printemps, en bougies, en années, je peux vous certifier que j’ai vingt-sept balais. Puisqu’on ne choisit pas sa famille, je viens d’une classe sociale riche. Issu et déchu de cette trempe, c’est ce qui m’a doucement ouvert les yeux sur le futur qui m’attendait sournoisement et qui m’a tranquillement aspiré à devenir avocat que vous connaissez aujourd’hui. Tristement (ou heureusement) pour vous, je suis actuellement en pleine chasse et dans la même veine homosexuel. Pardon, vous dites ? Me décrire en quelques mots ? Bon, d'accord : je suis un playboy arrogant qui, derrière son apparente désinvolture, a la paranoïa très développée. De ce fait, il faut dire que je suis assez révolté avec notre si belle société qui se retrouve morcelée en cinq factions et qui par conséquent nous réduit à une version de nous-même médiocre et incomplète. Outre tout ça, d’un aspect purement superficiel, trop souvent, vous avez cette fâcheuse manie de me confondre avec jack falahee. Mais ne faut-il jamais se fier à la couverture d'un livre ?

(i'm really not that irritating) l'angélique portrait constamment percé d'un sourire narquois. les œillades méprisantes qu'on masque à peine. l'humour cynique, le sarcasme qui crève les lèvres. sous la langue, y'a toujours une remarque mordante, désobligeante. on accuse ses allures naturellement provocantes ; ses silences goguenards en deviennent froissants, à la moue railleuse qui unifie sous son étendard chaque trait de son visage.  (he loves the name of honor, but he lives in disgrace) ambitieux, l'égocentrique a la vanité exacerbée. l'intelligence accorde le droit de s'octroyer les honneurs, les paresses, les critiques ; l'argent achète la gloire, la ruse abuse les rivaux. auréolé de triomphe, trop parfait, trop charmant ; sous le fiel d'une image savamment élaborée, le sale gosse se classe en raclure. sous l'or des victorieux s'allume l'éclat misérable du charbon des vauriens. habitué des bars, le fêtard abusif a la confidence difficile et l'indifférence puérile. débauché, on camoufle ses frasques au petit matin — la réputation surpasse le mal-être. (there is no such thing as fear) on l'a volontiers qualifié de libertin, d'effronté, d'assuré ; pourtant, y'a l'angoisse qui crevasse les veines, retourne les entrailles, parce qu'il a la désagréable impression de valser sur un fil prêt à rompre, parce que lorsque quelque chose échappe à son contrôle, il panique. et il déteste ça. paranoïaque, il a la méfiance en seconde peau et la rancune tenace. (overprotective) sous les airs détachés, l’irrépressible besoin de protéger. c'est viscéral, démentiel, c'est maladroit, parfois. ça gueule, ça comprends pas, ça devient stupide, blessant, ça la ferme, ça reste immobile ; et ça s'imagine milles astuces pour remédier, aider, effacer. peut-être un peu trop maternel, ceux qui comptent pour lui, peuvent compter sur lui, c'est comme ça, ça l'a toujours été.  (don't tell the truth isn't lie) demi-vérités, demi-mensonges, réponses vagues, sincérité factice glissée au bout des lèvres, droit dans les yeux, parce que les habitudes ont la vie dure, parce qu'on aime pas se dévoiler, qu'on manipule, un peu, (in)consciemment. ni vraiment menteur, ni vraiment honnête ; écran fumeux, esprit insaisissable. (self-confidence) trop confiant, trop sûr de lui. direct, la réplique sèche, fierté bercée d'un soupçon d'insensibilité. on croit, à tort, qu'il n'a jamais hésité, qu'il a toujours foncé, droit devant lui, à obtenir ce qu'il désire par la seule force de sa volonté. et c'est ce qu'il a toujours voulu faire croire, sans jamais être ce maven là.

AS I WALK ON THROUGH THIS WICKED WORLD

from small beginnings

come big endings

morgenstern. allégorie de justice, de droiture, de force. l'héritage qui pèse sur les vieux os rompus à l'exercice ; centaines de vies condamnées sur la sévérité incorruptible d'un visage de marbre, impartialité étreignant les lippes d'une grimace froide et insensible aux prières éplorées, stoïcisme de l'acier des sentinelles acérées qui ne se lassent jamais de veiller sur droit, vertu, et vérité. juge à l'incontestable pouvoir, l'homme brisé au regard embrumé de chagrins volages n'est autre que le dernier fils de cette illustre lignée ; l'homme qu'ils craignaient, enviaient, respectaient, sans jamais vraiment en connaître les tréfonds et secrets. femme décédée, gamin mort-né. monde déchiré et pâmé de désespoir lorsque, pour prix de la gloire, on nous arrache ceux qui nous sauvaient d'un regard. puis il croit au miracle, lorsqu'il le berce contre lui. orphelin des rues, gosse craché à la lisère d'un monde sombre et criminel, dédié à l'anonymat sitôt qu'extirpé des entrailles maternelles. visage sans nom, sang mêlé d'impostures, de souillures. conséquence d'une société tyrannique, il a l'avant-goût des inégalités, l'amertume des existences vouées à la déchéance par naissance. voleur d'identité, quand le juge prends dans ses bras l'ossature infantile, pour offrir à la vie de l'un, ce qu'aurait été la vie de l'autre. mensonges gravés à même la cervelle de celui qui autrefois aurait condamné ce geste prématuré.

Deux êtres abandonnés, à la frontière des ombres et des lumières, qui trouvent l'un dans l'autre ce qui ici bas se paye bien trop cher.

l'espoir.  

Lay my head down

in the darkness

noyer. noyer la pression, les regards appuyés. contempler les corps qui s'échauffent, se tentent, s'écartent. s'y mêler parfois, cracher un 'j'suis gay' à l'allumeuse qui se déhanche un peu trop près, la fièvre à fleur de peau, les folies libertines et les désirs à l'excès. oublier la tombe toujours froide, trop froide, les pleurs qui s'immortalisent, les fleurs qui fanent trop vite, les souvenirs aussi. arrêter d'essayer de se rappeler comment elle était avant, avant de la tuer, de lui voler sa vie. cesser de se détester, de se répéter pourquoi. pourquoi je m'en veux tellement, pourquoi j'suis pas à la hauteur de la vie que tu m'as donné, pourquoi je me rappelle plus de toi ? s'empoisonner un peu plus, se dire – non, se convaincre – qu'on ne ressent rien, qu'on est fort, que plus rien ne compte, sauf soi-même. être égoïste, juste égoïste, parce que c'est tellement plus facile, de se prendre pour quelqu'un d'autre, de se vautrer dans un mirage désabusé qui se fissure, chaque jour, un peu plus, qu'on reconstitue derrière des putains de sourires qui ne veulent plus rien dire. c'est tellement plus facile, de s'oublier, de se mentir.

et c'est tellement dur, de se voir, tel qu'on est.
con, soûl, et incontestablement paumé.

« maven. » dans le cadre de la porte, la silhouette paternelle se voûte sous le poids des années – de l'accablement, aussi. il ne sait plus vraiment quoi faire, quoi dire. son fils lui échappe, de plus en plus ; ils ne se parlent plus comme avant, ils s'éloignent, ne se comprennent plus, vivent d'entrains factices, de mascarades entretenues avec moins en moins de soin.« maven, il faut qu'on parle, tu le sais. — plus tard. » qu'il maugrée, la gueule enfoncée dans l'oreiller, les mires ceintes de cernes. il n'a pas envie de parler, de s'expliquer, d'affronter son regard inquisiteur, pire, déçu. il sait qu'il ne devrait pas, qu'il devrait se redresser, prendre ce qui lui a été donné. naissance dorée, avenir prometteur, héritage considérable. mais c'est plus fort que lui ; il étouffe, à se proclamer arrogant, assuré et prétentieux à longueur de journée. t'as fini par le devenir, connard. « on ne repoussera pas cette discussion encore une fois. » silence. s'il te plaît, va t-en. insensible à ses suppliques muettes, le paternel s'installe au bord du lit, lui arrachant une grimace rigide. et il se redresse, fait face : de toute façon, il n'a pas le choix, il ne peut plus reculer, éviter. « il faut que tu arrêtes ça. tes petites escapades nocturnes n'ont pas lieu d'être ; tu es un avocat à la carrière prometteuse, ne gâche pas tout. et puis je ne serais pas toujours là pour couvrir tes frasques. » y'a quelque chose qui coince dans sa gorge. des regrets, de la haine. de la culpabilité, peut-être. mais tout ce qui parvient à sortir, c'est un putain de : « je sais, j'ai déconné. mais t'inquiète, je gère. » qui sonne désespérément faux. nan, tu gères rien, tu gères absolument rien. « je ne sais plus quoi faire avec toi, maven. je ne sais plus quoi dire pour te faire comprendre que tu empruntes le mauvais chemin. » moi non plus, je sais pas quoi te dire. j'ai jamais vraiment su. « reprends-toi, et si tu ne le fais pas pour moi, fais le au moins pour toi. tu mérites mieux que ça. » et il se lève, se retire, et il le laisse là, entre les draps de satin, dans un arrière-goût d'amertume, de mélancolie.

c'est pas ma faute, papa. j'te jure, je le fais pas exprès. c'est juste ce monde, cette ville, ces abrutis. je les hais, viscéralement.

I was looking for

a breath of life

du haut de sa tour d'ivoire, tel un souverain serein qui jamais n'a su s'émouvoir, il contemple l'apocalypse sans vraiment la voir. par le fer et les flammes, les hommes s'immolent et se désarment. l'humanité dans toute sa terrible splendeur et son indicible horreur. au cœur de l'enfer, les morts s'amoncèlent, les âmes se révèlent et, au travers de ce miroir où se reflètent les penchants les plus noirs, se présente la Vérité sous son manteau cousu de désespoir. certains laisseront crever les mourants, les piétineront, d'autres les sauveront, au péril de leur propre existence – trop rares, ceux-là ; inexistants, qu'il clamerait, armé de son légendaire cynisme. quelque part entre ici et là-bas, il a dû se perdre en chemin. où étaient chagrins, hargne et rancœurs, quand sous ses yeux emplis de froideur s'étalaient les cadavres frais et les cœurs brisés ? ressens, putain, ressens quelque chose ! « kass » il s'éveille brusquement, reconnaissant le timbre de sa voix entre milles et, malgré ses inflexions angoissées, n'empêche pas une remarque agacée de franchir la barrière de ses dents. combien de fois je vais devoir te dire que-- »  à peine retourné, qu'il se retrouve avec un gabriel dans les bras. muet de surprise, lèvres entrouvertes à ne savoir que dire, il reste juste immobile, stupéfait. le myocarde s'emballe, les pensées se font désordre lorsque son cœur, contre le tien, bat si fort. « ne me fais plus jamais ça.  » c'est lorsque le sincère se détache et tourne les talons qu'il se reconnecta à la réalité et gueula un : « att--» qui n'atteindra jamais sa cible.

trop tard.

face à gabriel, tasse de caféine entre les doigts et lunettes de soleil perchées sur le nez, l'indolent se délecte des rayons solaires qui répandent sur son épiderme blâfard une délicieuse chaleur.  « c'est quoi ton deuxième prénom ? — qu'est-ce que ça peut t'faire ? » qu'il réplique, l'agacement peignant sur son visage une moue furibonde, les lèvres usitées aux sourires moqueurs qui fanent instantanément à la mention de ce prénom qu'il juge immonde. sujet sensible, qui n'a pas échappé à l'oeil céruléen d'un gabriel inquisiteur. « question rhétorique, en fait, je le savais déjà, kassidy. » claquement de langue, moue furieuse, œillade amusée. dès lors que ses lippes crachèrent innocemment ce kassidy meurtrier, il sut qu'il allait lui coller à la peau jusqu'à ce que l'un d'entre eux crève subitement. extirpant brusquement son séant de la chaise, il pencha sa carcasse sur celle de son interlocuteur, un brin menaçant. « si tu prononces encore une fois ce prénom, je devrais te faire taire ... par tous les moyens. » qu'il glisse à son oreille, ses lippes mutines à quelques centimètres des siennes. il sait comment le gêner, comment lui faire détourner les yeux. et c'est là une vengeance bien suffisante. il déposa quelques billets sur la table, désinvolte, terminant leur déjeuner par un clin d'oeil aguicheur.

« au plaisir, gaby. »

il a jamais vraiment su quand. quand l'autre était devenu si important. ami d'enfance, comparse de malice, les sentiments ont germés au creux de la poitrine gardienne des amours secrets, désirs désavoués qui planent sur les facéties tendancieuses lorsque corps contre corps les inquiétudes s'entremêlent et s'appellent. il t'évite, putain, et chaque fois qu'il détourne le regard est un énième coup de poignard. il a le cœur lardé de cicatrices, et pourtant, personne avant lui n'avait jamais mérité sa confiance. tous traîtres, fourbes, avides de pouvoir, de richesses, d'artificiel ; piètres humains qui se sacrifient tour à tour pour quelques chimères qui périssent au petit jour. ils le dégoûtent, tous, lui tordent les entrailles à éructer leurs principes mécaniquement, absurdement, sans comprendre qu'ils sont leur propre poison et que c'est ensemble qu'ils graviront les marches jusqu'à l'ultime jugement. pourquoi t'es encore là, alors, à biaiser et vomir ton désenchantement ? qu'est-ce qu'il te reste encore à faire, sur cette pourriture d'univers qui seconde par seconde se fait plus écoeurant ? cynique acharné, désinvolte assumé, il aurait pu gueuler que rien au monde ne comptait plus, que rien n'avait de sens.

sauf lui.
sauf gabriel.

test d'aptitude

(Ce joli questionnaire est ici pour déterminer et choisir votre groupe. Pour répondre à ce petit quizz, vous pouvez souligner ou mettre en gras la réponse qui correspond au mieux à votre personnage. Allant avec la majorité de lettre accumulée, le Staff vous ajoutera au groupe de circonstance... soit la faction que votre protagoniste décide d’appartenir et de servir. Une fois cette parenthèse consultée, vous pouvez l’effacer et simplement conserver le questionnaire. Pour les personnages de moins de dix-huit, vous n'avez pas à le remplir.)


Dans les yeux de votre famille et vos amis, vous brillez comme étant quelqu’un de ?

A) Enclin à tout sacrifier pour aider son prochain.
B) Naturellement apprécié et aimé de tous.
C) Digne de confiance et d’une inébranlable loyauté.
D) Protecteur, irrépressible, peu importe la situation.
E) Sage, qui a toujours le bon mot à tout.

Quand une impasse vous fracasse le nez, votre réaction est ?

A) D’agir et faire ce qui est le mieux pour le plus de monde possible.
B) Être l’auteur d’une œuvre qui met en lumière mes sentiments.
C) Improviser une salle de conseil et discuter du problème avec mes proches.
D) Foncer dans le tas. Tête bien haute. C’est la seule solution !
E) Faire une liste de pour et de contre pour voir les meilleures options.

La profession parfaite, pour vous, c’est quoi ?

A) Tant que c’est Humanitaire, pour moi, c’est le comble de la perfection.
B) Tant que c’est sur l’entretient du Terroir, pour moi, c’est le comble de la perfection.
C) Tant que c’est pour l’évolution de la Science, pour moi, c’est le comble de la perfection.
D) Tant que c’est pour assurer la Sécurité, pour moi, c’est le comble de la perfection.
E) Tant que c’est Politique, pour moi, c’est le comble de la perfection.

Votre priorité capitale et fondamentale en ce moment ?

A) Servir et aider mon prochain.
B) Trouver le bonheur et la joie en mon for intérieur.
C) Atteindre et surpasser l’apogée de mon Savoir.
D) Forger mon caractère déjà bien trempé.
E) Chercher et trouver la vérité en absolument tout.  

FACTION SOUHAITÉE : sincères.

SEE YOU ON THE OTHER SIDE

Pseudo : ça varie, l'plus récent c'est "LA CONNASSE TERRITORIALE A L'EGO QUI FAIT TROIS FOIS SON CUL". mais ne prêtons pas attention aux paroles d'un clodo dégénéré, ça raconte que des conneries ces gens là.   Où as-tu donc connu le forum ? dans les entrailles du poulet que j'ai égorgé c'matin.   Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? fait pas genre tu m'connais pas. g la famousité dans le sang.  Le forum, tu en penses quoi ? y'a pas assez d'statue à mon effigie, m'enfin, personne peut être parfait  As-tu des demandes spéciales ? BB SI J'AI PAS UN ACCUEIL DE FIFOU JE TE RENIE SUR MON HONNEUR.    Le règlement du fofo, tu l'as consulté ? Oui ?! Alors révèle nous donc son code top-secret ! one choice can transform you (de mémoire bitch )

PREUMS JE RE

EDIT :






*CROISE SON REGARD DE CHIEN BATTU, DEFAILLE.
RUN. RUN AND RUN.
FONCE TOUT DROIT SUR SON BABE, LUI SAUTE DESSUS, ENROULE SES JAMBES
AUTOUR DE SA TAILLE. S'ACCROCHE A SON COU ET L'EMBRASSE COMME S'IL VA
MOURIR DEMAIN. ENCORE. ET ENCORE. RESTE ACCROCHE. NE BOUGE PLUS.*

TOI LA. TOI.

*S'EN FOUT S'ILS TOMBENT. SI BB TOMBE. IL TOMBE. S'IL SAUTE IL SAUTE. S'IL SE NOIE. IL SE NOIE.*

TOI LA. IL ETAIT TEMPS. TOI  

*LE SERRE FORT. FORT. FORT. PASSE SA MAIN DANS SA MECHE DE GRAOUH. ET LE GARDE. LE GARDE. ON TOUCHE PAS. OUH NON PAS TOUCHE. PAS TOUCHER.*

I LOVE YOU  

ET JE FINI QUAND MEME AVEC CELUI LA.



*NE LACHE PLUS C'EST FOUTU. A VIE.*
TOI+MOI=FOREVER.

g foi en toi bb. j'le savais

Je vais encore faire un FAIL je le sens quelque part

Y'a trop d'amour dans le coin!!! xDDD


RE BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU (pour moi tu es, et restera TOUJOURS ma Poulpelina!!! xD)

JE VEUX ET J'EXIGE UN LIEN AVEC LEXIDOUDOU QUAND TU SERAS VALIDE!!!!

BB. JE PEUX PAS RESTER SANS RIEN DIRE.
Y'A TROP DE LOVE ICI PTN TU SAIS POUR TOI JE RETIRE MES FRINGUES QUAND TU VEUX MON CORPS MON COEUR MA MECHE TOUT EST A TOI T'ES TELLEMENT SEKSEY TES YEUX PTN TES YEUX JE PEUX LES REGARDER PENDANT TOUTE UNE VIE AZY VIENS ON VA VIVRE D'AMOUR ET D'EAU FRAÎCHE JPP JE SUIS TERRASSÉ PAR LES FEELS HELP HELP VIENS ME RÉANIMEEEER FUCK LES RULES FUCK LE SYSTEM YOU AND ME FOREVER

edit :
MDRRR MINCE JE CROYAIS QUE CE PSEUDO LA ETAIT PARTI AUX OUBLIETTES *a le poulpe qui lui colle à la peau*

TU EXIGES ET TU AURAS, RIEN QUE POUR TES BONS PETITS PAINS AU CHOCOLATS (azy y'a même la rime que demande le peuple )

MDRRRR KEKETTE

CAY BEAU L'AMOUR

ON
VA
SE
MARIER.

VOILA.
C'EST TOUT.

#Gabyestfoutu

MARIAGE ?! MAIS FAITEUH LE ET VIVEZ HEUREUX JE VOUS EN PRIE !

MAVEN, T'ES SO SEXE, SÉRIEUSEMENT ! ET COMME JE TE CONNAIS.... TU VAS NOUS PONDRE UN PERSO QUI DÉCOIFFE TOUT...même ma chevelure de princesse RE BIENVENUE À LA MAISON MA POULPE ADORÉE ET SURTOUT BELLE RÉDACTION DE FICHETTE !

AH NAN PAS ELLE.




....


OH LOL. Putain tu m'as tuée sale grognasse ! C'te citation repêchée des tréfonds. XDDDDDDDDDDDDDDD

N'empêche, c'était POUR SILENASQUE. Son existence est une honte. Pfeuh !

Toé, t'as l'air un chouilla moins con qu'elle.

RE-BIENVENUE AVEC CE PERSO QUI DÉCHIRE.
GROSSE TRUITE !


Ah et, la p'tite danse de bienvenue !

         

OOOH MAIS JE T'INVITE A NOTRE MARIAGE PUISQUE TROP DE MIGNONITUDE EN TOUA.
MDDRR TAHVU MOI J'AI UNE BELLE MÈCHE AUSSI ON VA POUVOIR JOUER A LA COIFFEUSE

HÉ SI.
(ptn ce gif jpp )

TAHVU J'AI PLONGÉ TRÈS LOIN DANS L'AMAS DE MENSONGES QUI SORTAIENT DE TA BOUCHE PAS LAVÉE LA HONTE CEY DE DIRE DES CONNERIES PAREIL

*regarde d'un air perplexe*


AZY BOUGE TON BOULE *se joint à la danse avec son swag inné*

T'es beau !

tahvu

Moi ? Spammer ?